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 Gnawa Festival Essaouira 2008

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badram
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MessageSujet: Gnawa Festival Essaouira 2008   Gnawa Festival Essaouira 2008 EmptyJeu 26 Juin - 9:42

Gnawa Festival Essaouira 2008

A l'occasion de cette 11ème édition, prenez le temps d'en savoir un peu plus sur la musique Gnawa, ses origines, ses traditions, ses instruments, ses artistes.
Le festival Gnawa 2008 d'Essaouira va se dérouler du 26 au 29 juin, sur 9 scènes, et devrait réunir près de 100.000 personnes.
cheers cheers cheers Arrow Arrow Arrow Arrow Arrow
http://www.gnaoua2008.com/
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MessageSujet: Re: Gnawa Festival Essaouira 2008   Gnawa Festival Essaouira 2008 EmptyJeu 26 Juin - 10:39

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Festival de Essaouira : Des coupures d’électricité menacent le festival

Publié le 26.06.2008 | 15h44

L’édition 2009 du festival de Essaouira est-elle menacée par des problèmes liés à des coupures électriques ? Il semblerait que oui. En effet, et ce depuis quatre jours environ, les habitants de la ville sont privés d’électricité, comme du reste les restaurateurs et autres hôteliers. Un sacré coup dur à quelques heures de l’ouverture du festival Gnawa.
Festival de Essaouira : Des coupures d’électricité menacent le festivalPour l’heure, les organisateurs ont fait appel à des groupes électrogènes pour pallier au déficit en électricité. De fait, la programmation musicale ne devrait pas connaître de bouleversement et de modification. Cependant, c’est autour de la manifestation culturelle que le doute subsiste.

De nombreux professionnels de l’hôtellerie et de la restauration se plaignent de cette situation catastrophique. Pour l’occasion, des quantités importantes de nourriture sont stockées dans des appareils réfrigérés, non alimentés en …électricité. On devine facilement l’étendue des dégâts. La chaleur exige également le maintien à des températures relativement fraîches des boissons. Constat et effet identique.

Comment est-on arrivé à cet état de fait. Selon des sources bien informées, la responsabilité de l’Office National d’Electricité (ONE) est largement engagée. L’opérateur public a réalisé des travaux et il aurait négligé certaines vérifications.

Un vent de panique et un océan d’interrogations planent sur Essaouira. Espérons que la situation retrouve le chemin de la normalité. N’oublions pas que des milliers de personnes sont attendus durant le week-end.

Rachid Hallaouy
Copyright Yabiladi.com
http://www.yabiladi.com/article-societe-2527.html
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MessageSujet: Re: Gnawa Festival Essaouira 2008   Gnawa Festival Essaouira 2008 EmptyLun 7 Juil - 4:53

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Essaouira : Ils viennent de loin, couchent dehors et s’éclatent
Chaque année, au début de la saison estivale, Essaouira draine des milliers de fanatiques de la musique gnaouie ou de l’ambiance festive qui transforme la ville pendant les quatre jours que dure le festival en capitale des nuits folles.
CETTE année, le festival a donné l’occasion aux nombreux spectateurs venus des quatre coins du Royaume, de suivre de près les prestations de 550 artistes provenant de 15 pays différents. Le tout dans l’esprit de l’événement qui vise à valoriser la musique gnaoua tout en la confrontant aux musiques du monde. Des concerts de fusion ont été organisés sur les différents sites (10 scènes) montés tous dans la même logique : promouvoir l’art gnaoui et permettre aux artistes locaux de s’ouvrir sur la musique du monde.
Les dix scènes ont été animées par les rythmes de nos artistes gnaouis et par des artistes internationaux réputés. L’occasion est ainsi donnée aux spectateurs de savourer les rythmes produits par des musiciens Gnaoua, seuls ou en fusion avec des musiciens étrangers. Cette fusion n’est d’ailleurs pas du goût de certains puristes. Les plus passionnés parmi ces derniers craignent pour l’art granoui authentique. Ils ne veulent pas le voir perdre son âme. Mais, ils ont été rassurés par des maâlam gnaouis eux-mêmes : « la fusion nous permet une ouverture sur d’autres musiques. Cela ne se passe que durant les festivals. Mais, durant les « lilats d’jadba (veillée de transe) que nous animons, nous avons amplement l’occasion de sauvegarder l’authenticité de cet art », précise maâlam Abdeslam Alikane, l’un des directeurs du festival.
La diversité est un trait caractérisant la programmation : gnaoua, différents groupes marocains, groupes étrangers (coréen, palestinien, plusieurs occidentaux)... Ce melting pot artistique a satisfait les « pèlerins » venus nombreux à Essaouira rien que pour le festival. Si lors de la première édition, 20.000 personnes seulement avaient répondu à l’appel du rythme gnaoui, ce chiffre a atteint l’année dernière, lors de la 10ème édition, plus de 500.000 visiteurs (il en était de même lors de la 9ème édition). Cette année, la ville des gnaouas a accueilli 400.000 visiteurs. L’amour de la musique, l’atmosphère dégageant éclat et gaieté et surtout l’amour de l’art gnaoui, sont les points communs qui ont réuni, durant quatre jours, tous ces milliers de personnes dans cette petite ville paisible qu’est Essaouira. Malgré cet amour partagé, ces visiteurs ne viennent pas tous du même milieu. Ils n’ont pas tous le même train de vie, ni le même âge...
La majorité des visiteurs est constituée de jeunes qui commencent à peine leur vie professionnelle. Beaucoup d’entre eux sont des étudiants ou des lycéens qui viennent à peine de terminer l’année scolaire. Il y a aussi des moins jeunes, nostalgiques de la musique hippie des années 70... Les visiteurs ne sont pas uniquement des Marocains, car en visitant la ville et en assistant aux différents concerts, l’on se rend compte qu’il y a beaucoup d’étrangers, jeunes et vieux, qui viennent spécialement pour assister au festival. La majorité de ces visiteurs, nationaux et étranger, ont cette particularité de se coiffer de différentes manières tout aussi particulières les unes que les autres : des tresses en abondance, des cheveux longs, des cheveux multicolores...
Essaouira, ville inondée
Le festival a duré du jeudi 26 au dimanche 29 juin et a compté 400.000 spectateurs. Durant le jour de l’ouverture, il n’y avait pas tellement de monde. C’est dans la soirée du vendredi mais surtout le samedi soir que la ville qui compte moins de 80 mille habitants, a été inondée par des milliers de visiteurs. Ces étrangers on les retrouve un peu partout dans les différents quartiers de la ville. En attendant le début des concerts, prévus généralement à partir de 16 heures, ils vaquent à d’autres occupations. Certains se reposent, d’autres cherchent à manger, d’autres encore déambulent dans les petites ruelles de la ville, se rafraîchissent sur la plage, ou draguent... Ce sont eux qui donnent le tempo économique de la ville. Mais les souiris ne sont pas pour autant ravis. Ils dénoncent la crise créée au niveau des petits taxis et des « koutchi », la montée du prix du poisson et autres denrées, la rareté du pain...
Une femme souirie drapée dans son haik nous a expliqué d’autres raisons qui poussent les locaux à dédaigner le festival : « durant les jours de la fiesta se développent des phénomènes qui sont étrangers à la ville. Outre l’exagération des manquements aux mœurs, il y a les cas de vol et d’agressions, de la drague... Des phénomènes que nous ne vivons pas du tout durant les autres mois mais qui se multiplient durant la semaine du festival ». D’autres témoins s’attarderont sur la surdensité qu’ils doivent supporter durant quatre jours. En effet, de Bab Doukala à Bab Sbaâ, en passant par Bab Marakech (les plus importantes portes d’entrée de l’ancienne médina d’Essaouira), des marées humaines se voient partout. A tel point qu’il est difficile de marcher à son aise derrière les murailles de l’ancienne médina. La plage non plus ne désemplit pas. Elle est inondée d’estivants qui veulent profiter tant de la musique que de la mer d’Essaouira.
Lors des concerts, ils chantent, ils dansent, applaudissent, sifflent, crient... Ils restent debout pendant un certain temps, puis, fatigués, ils s’assoient à même le sol, individuellement ou en groupes. Ils ajoutent ainsi une animation supplémentaire aux concerts.
D’où et comment viennent-ils ?
Les 400 mille spectateurs du festival d’Essaouira viennent en majorité de loin, de très loin parfois. De Casablanca, Mohammedia, Agadir, Rabat... Ils se débrouillent pour avoir des vacances durant les jours du festival. Principal objectif de toutes et de tous : vivre les moments forts de cet événement pour en garder un souvenir inoubliable. Il y a ceux qui viennent en voiture ou sur de grosses motos. Une grande partie du gotha, surtout économique, que compte le pays, se retrouve aussi à se festival. Certains s’y rendent en avion. C’est ce qui fait qu’il y a trois grandes catégories de spectateurs du festival d’Essaouira.
Il y a les VIP. Ceux-là ont le privilège d’être installés dans les meilleurs hôtels et riads de la ville (les uns invités, les autres se prenant en charge). Ils ont tous le privilège qu’offre le badge VIP et qui leur donne accès aux premiers rangs, juste devant l’estrade, séparés du reste des spectateurs par des barrières en fer.
L’autre catégorie est formée de spectateurs de la classe moyenne (fonctionnaires, professions libérales, cadres moyens) qui sacrifient d’autres priorités pour venir assister à cet évènement. Ils louent des maisons chez les souiris pour s’y installer le long du festival. La troisième catégorie est celle des « aventuriers ». Ce sont des jeunes qui malgré le manque de moyens tentent quand même l’aventure, effectuant « coûte que coûte » leur périple vers Essaouira.
Ils couchent par terre
Cette troisième catégorie est composée de jeunes en manque de moyens (des étudiants, lycéens, chômeurs...) mais qui aiment la musique et font tout pour être de la fête à Essaouira. Ils cotisent pour venir dans la voiture d’un ami, font de l’auto-stop, viennent en autocar... Il leur suffit juste, pour venir festoyer, d’assurer le transport et d’avoir de quoi manger. Ils jugent très cher le prix de location d’une maison (un hôtel ou un riad, ils n’y pensent même pas), surtout durant la période du festival où les prix flambent. Ils viennent munis de couvertures ou de vêtements très chauds. Ce qui leur permet de passer la nuit à la belle étoile. En fait ils ne dorment qu’une partie de la nuit puisqu’ils ne ferment l’œil qu’à l’aube. « Il est hors de question de payer le loyer d’un appartement dont le moins cher coûte 300 dirhams. Nous préférons manger d’abord à notre faim, tant pis si, faute de moyens, nous sommes obligés de passer la nuit ici sur la plage », nous explique un jeune qui se trouve aux côtés de son groupe d’amis.
L’endroit idéal pour dormir en plein air est la corniche de la ville, sur le sable de la plage. En faisant un tour à cet endroit stratégique, même vers 9 heures, on peut voir des jeunes dormant encore sur le sable, en petits groupes. Les bruits alentours des lèves-tôt ne les dérangent pas le moins du monde.
Même des étrangers qui ont payé -pour certains cher- pour arriver au Maroc, se trouvent parmi les « locataires » des lits de sable. Quelques uns ont eu la désagréable surprise, en se réveillant, de remarquer que l’un ou l’autre de leurs objets s’était volatilisé.
Les premiers à se mettre debout s’installent sur le mur de la corniche, le temps de se réveiller complètement et de se reposer des courbatures causées par la dureté du lit providentiel. Puis ils se mettent à ranger leur paquetage.
Sur la même avenue de la corniche, plusieurs voitures stationnent. Elles servent aussi d’hôtels gratuits où dorment leurs propriétaires. Pour ne pas être dérangés par les premiers rayons du soleil, ceux-là prennent la précaution de transformer des serviettes en rideaux provisoires. Le matin venu, ils sortent leurs bouteilles d’eau pour faire leur toilette avant de se changer. Le tout sur place.
Les têtes d’affiche
L’un des moments exceptionnels du festival gnaoua de cette année a été le concert d’ouverture avec la fusion entre la troupe coréenne Samulnori Molgae et le groupe Gnaoua Baalil. Les deux groupes ont su admirablement marier leurs rythmes et même leurs chorégraphies. La symbiose sautait aux yeux. La fusion entre le jazz joué par le saxophoniste Wayne Shorter et le gnaoui marrakchi Mohamed Kouyou, a été aussi d’un bel effet.
Le succès des concerts 100% Gnaoua, comme ceux d’Abdelkébir Merchane à Bab Doukkala vendredi soir et d’Hamid El Kasri sur la scène Bab Marrakech samedi soir ont confirmé l’engouement du public pour les Gnaoua qui sont les vraies stars du festival. Hamid El Kasri s’est produit devant 60.000 personnes qu’il a envoûtées avant de céder la place à Kimany Marley (fils de Bob Marley), qui a repris les plus célèbres chansons de son père telles « No woman no cry », « I shot the sherif », « One love »...
Les amateurs et passionnés de fusion ont pu assister à des rencontres exceptionnelles, notamment celle du maâlem Omar Hayat avec le batteur français Franck Vaillant, le guitariste franco-marocain Mohamed Derouich, le trompettiste libanais Ibrahim Maalouf et John Balke, pianiste norvégien de talent. Ces spectacles ont été donnés dans le cadre féerique de la place Moulay Hassan.
La même scène fut enflammée le lendemain par le maître Mahmoud Guinea d’Essaouira, qui lors d’un concert de 3 heures, a une fois de plus prouvé sa dimension résolument africaine par une fusion avec les Maliens du groupe Bassekou Kouyaté.
Désagréments
- Le jour du festival, la ville d’Essaouira a été privée d’électricité. L’ONE a dû mobiliser ses moyens et son personnel pour utiliser les groupes électrogènes en cas de panne. Un employé de l’ONE nous a expliqué que ces pannes sont tout à fait normales car le circuit électrique ne supporte pas la forte demande exigée par les différents concerts.
- Les propriétaires des voitures ont été pénalisés durant les jours du festival par les gardiens qui se sont mis à demander des prix exagérés pour le stationnement. Parfois ces tarifs dépassent 20 dirhams et pouvaient facilement atteindre 40 dirhams.
Réhabilitation d’un culte gnaoui
Saâd Kettani, haut commissaire de l’association « 1200ème anniversaire de la Fondation de la ville de Fès » a intégré la ville d’Essaouira et les gnaoua dans le programme de sa fondation. Il a annoncé l’octroi d’une subvention de la part de l’association de Fès dont l’objectif est la réhabilitation de la Zaouia Sidna Blal des gnaouis.
Méditel la gnaouia
Principal sponsor du festival, Méditel a installé, comme l’année dernière, sa propre scène, située sur la plage. Méditel a ramené par autocars des centaines d’invités qu’elle a installés dans un campement sur la plage, rappelant les campements des transhumants sahraouis. La scène Méditel a séduit des milliers de jeunes fans des groupes H-Kayne, Darga, Fez City Clan, Mazagan...
De la musique et du business
Le festival des Gnaoua n’est pas seulement une opportunité pour les professionnels de la musique. Les professionnels du tourisme saisissent cette occasion pour lancer de nouveaux projets. C’est dans ce cadre qu’a eu lieu la cérémonie de pose de la première pierre pour la construction du premier hôtel de la station balnéaire de Mogador. Un premier hôtel sera développé sur une base foncière de 13 ha environ, le premier hôtel « Soffite Luxure Mogador Golf & Spa », un des tous premiers hôtels nouvelle génération de Soffite.
Le groupe Accor a saisi cette occasion pour annoncer aussi l’ouverture de sa nouvelle unité hôtelière Ibis Moussage. Réalisé sur une superficie globale de 15.000 m2 pour un investissement de l’ordre de 60 millions de dirhams, « Ibis Moussage » d’Essaouira est d’une capacité de 151 chambres.
La cérémonie d’inauguration a été marquée également par la signature d’une convention qui vise à associer Ibis Moussage d’Essaouira à l’Association Varna à travers un soutien financier au profit du centre d’accueil des enfants en situation difficile, qui a ouvert ses portes récemment.
Le but étant d’attribuer au titre de subvention de fonctionnement, une quote-part du produit de l’activité de l’hôtel (sept dirhams par nuitée) pour assurer la pérennité de cet orphelinat, a expliqué Marc Thépot, directeur général d’Accord Maroc.
Brahim Mokhliss
Mis en ligne le 7 juillet 2008
http://www.lereporter.ma/article.php3?id_article=6730
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