FORUM DES ETUDIANTS ET LAUREATS DE L´ISITT
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
FORUM DES ETUDIANTS ET LAUREATS DE L´ISITT

FORUM ISITT
 
AccueilAccueil  GalerieGalerie  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon : la prochaine extension Pokémon sera EV6.5 Fable ...
Voir le deal

 

 *" pas touche à mon pote ?!..."*

Aller en bas 
AuteurMessage
badram
Général de corps
Général de corps
badram


Masculin
Nombre de messages : 2630
Age : 64
Localisation : rabat/maroc/machy l' hinde!!!
Emploi : stf/gm/master en marocologie & 7 legumes
Loisirs : ly jabe allahe; net; volley; foot;.........
Date d'inscription : 12/02/2007

*" pas touche à mon pote ?!..."* Empty
MessageSujet: *" pas touche à mon pote ?!..."*   *" pas touche à mon pote ?!..."* EmptyLun 25 Juin - 11:30

El Malki: C’est trop facile de dénigrer l’école publique!

" un prof sencé la boucler ...."

Habib El Malki, ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement supérieur, n’en démord pas: il y a trop de clichés sur l’école publique. Il reconnaît cependant les faiblesses du système et prêche la patience, le temps que «la réforme produise pleinement ses effets». Il n’est pas sûr que les parents soient dans la même disposition d’esprit, eux qui assistent à la dégradation continue du niveau des élèves. Premier budget de la nation, l’Education nationale doit affronter l’impatience des 30 millions de juges.
· L’Economiste: C’est la période où les parents inscrivent leurs enfants à l’école. Saviez-vous que leur premier choix c’est tout sauf le public? Que vous inspire cette défiance à l’égard de l’école publique?
- Habib EL MALKI: Voilà encore une fois un cliché qui circule à la vitesse de l’ignorance de la réalité. L’enseignement privé ne représente même pas 6% des effectifs globaux scolarisés. L’école publique reste l’enjeu majeur de la réforme en cours. Sans une école publique performante, il ne peut y avoir un enseignement privé performant. Après deux ans de pourparlers avec les représentants de l’enseignement privé, le gouvernement a conclu un accord-cadre qui vise la mise à niveau de ce secteur ainsi que sa promotion à travers une série de dispositions incitatives. L’objectif est d’arriver à ce que l’école privée assure 20% de l’offre en formation en 2015. La réalité des chiffres contredit cette méfiance dont vous parlez.

· Il reste que ce n’est pas une vue d’esprit, sinon comment expliquer l’engouement pour les écoles dites des «Missions»?
- Faites une enquête! Pourquoi ne serait-il pas intéressant de temps en temps de procéder à des sondages afin de vérifier, de nuancer, voire carrément d’affirmer. Dans le domaine de l’éducation, il faut se garder des analyses conformistes fondées sur des clichés où la rumeur se transforme souvent en information.
Je considère qu’à l’avenir, il y aura une très forte synergie entre les principales composantes du système d’enseignement, mais c’est l’école publique qui doit tirer l’ensemble vers le haut.

· Pour l’instant, on est loin du compte…
- La réforme en cours, sa finalité, sa philosophie ainsi que toute la mobilisation qui l’entoure vise à rendre l’école publique attractive, réceptive et plus à l’écoute de son environnement. On ne peut pas réussir une réforme portant sur l’élément humain en un quinquennat car c’est un processus qui s’inscrit dans la durée. Ce n’est pas du tout comparable avec la construction de kilomètres d’autoroutes, d’immeubles ou d’habitations. La réforme de l’éducation touche le système socioéconomique et en même temps, le système culturel.
L’élément humain, qui est central dans cette réforme, mérite qu’on s’y attarde et qu’on ne formule pas de jugement hâtif. Il faut partir de critères précis et mettre en place un système d’évaluation afin de ne pas cultiver cet esprit chagrin, nostalgique et qui considère que l’école d’antan est la référence.

· Mais les gens qui ne sont ni chagrins, ni nostalgiques, se basent sur leur vécu. Plus les années passent, plus ils ont le sentiment que le niveau se détériore.
- Je ne suis pas en train de vous dire qu’il n’y a pas d’insuffisances. Elles existent au niveau de ce qu’on peut appeler les savoirs fondamentaux, comme au niveau des langues d’apprentissage. Mais si vous analysez la réalité à travers ce que prévoit la réforme, vous constaterez qu’une dynamique s’est enclenchée. Et je dois vous dire, plus exactement vous rappeler, que le bachelier qui appartient à la génération de la réforme n’est pas encore arrivé sur le marché. Il arrivera en 2008/2009 et à ce moment, on disposera d’un instrument objectif de mesure et d’appréciation. Nous sommes dans une période de transition, aussi bien pour l’éducation nationale que pour l’enseignement supérieur.

Le secteur de l’Education est celui où l’on constate une inflation d’experts, qui n’hésitent pas à donner beaucoup de leçons. Cet intérêt est louable, mais l’analyse reste limitée parce que l’information est souvent incomplète. L’école, à juste titre, préoccupe tout le monde car c’est un domaine déterminant pour l’avenir de nos enfants, et il est tout à fait légitime que les familles, les différents acteurs, la société civile, les élus s’en préoccupent. Mais souvent, les jugements émis ne dépassent pas des cas individuels, locaux et la tentation est grande de généraliser à partir du vécu dans un établissement ou dans une délégation. Cette tentation ne permet pas une appréciation objective des acquis de la réforme.

· Pourquoi ne pas tirer les conséquences de l’échec de l’arabisation puisque le constat fait l’unanimité? La marche arrière est-elle impossible?
- La réforme a tiré les enseignements de la politique de l’arabisation qui a été menée durant les années 80. De manière concrète, la réintroduction des langues étrangères en fait partie et ce, à partir de la deuxième année du primaire.
Nous considérons qu’il s’agit d'un choix fondamental qui nécessite une formation de qualité des enseignants et un matériel pédagogique approprié. C’est ce que nous sommes en train de déployer de manière progressive dans un très grand nombre d’établissements. Il faut être patient car les conséquences de l’abandon de l’apprentissage des langues étrangères pendant des années ne peuvent être corrigées qu’avec le temps.
Aujourd’hui, les élèves n’ont pas la maîtrise totale des langues. Où se trouve le péché originel dans le cas de l’arabe? Nous enseignons dans une langue classique, immuable et figée, qui n’est pas perméable à l’ensemble de nos élèves. Il est temps de l’adapter aux exigences de la vie d’aujourd’hui. Nous avons pris les dispositions nécessaires pour rendre l’apprentissage des langues plus opérationnel et pédagogiquement performant.

· Vous soutenez donc la réintroduction du français dans la plupart des programmes…
- Personnellement, cela ne me gêne pas du tout. Il faut une cohérence d’ensemble. Vous savez, on n’est pas Marocain uniquement parce qu’on connaît l’arabe ou l’amazigh. On est Marocain parce qu’on parle certes arabe et/ou amazigh, mais aussi, parce qu’on est porteur d’un certain nombre de valeurs. L’attachement à un pays ne passe pas obligatoirement par une vision étriquée de sa langue nationale. Considérer que seule la langue arabe nous unit est une erreur. La langue est fondamentale, mais pour l’enrichir, la protéger, la développer, il convient de s’ouvrir au maximum sur le monde. Et cette ouverture sur le monde passe par la maîtrise des langues étrangères. Ça me paraît une évidence.

· Défenderiez-vous la sélection à l’entrée à l’université?
- Elle existe déjà partiellement. Le système de l’enseignement supérieur comprend deux catégories d’établissements: ceux à accès ouvert comme les facultés de droit, des lettres et même, en partie, les facultés des sciences et les établissements à accès régulé, notamment les Encg (Ecole nationale de commerce et de gestion), les Facultés de médecine et de pharmacie…
Généraliser la sélection à l’entrée est une question qui peut se poser, mais j’estime que le problème doit être traité en amont par une orientation systématique de nos élèves à partir de la dernière année du collège. Et c’est ce travail en amont auquel nous nous attelons actuellement.
C’est l’objet de la réforme du cycle du baccalauréat dans le sens d’une plus grande diversification des options en mettant l’accent sur les sciences techniques et mathématiques. Cette démarche qui sous-tend une vision utile est à même de poser dans des termes adaptés la problématique de la sélection au sein de nos établissements universitaires.

· Il s’avère que les établissements qui filtrent leurs élèves sont également ceux dont les lauréats souffrent moins du chômage. Pourquoi ne pas généraliser une démarche qui marche?
- Oui, mais le problème n’est pas aussi simple que vous le décriviez. Je considère que l’orientation à partir de la dernière année du collège, celle du tronc commun, est une forme de présélection. La professionnalisation de l’enseignement supérieur, c’est aussi une autre forme de sélection. Donc, il faut offrir à nos élèves un éventail de choix permettant à chacun de s’y retrouver. Il faut veiller à ce que le système d’enseignement ne devienne excluant à aucun stade. Il doit favoriser l’intégration en fonction des capacités de chaque élève.

· Quelle doit être la mission de l’université? Produire des savoirs ou préparer à la vie active? Il semble qu’elle n’est performante ni dans un sens, ni dans l’autre. Quelle est votre analyse?
- L’université doit s’adapter à l’évolution de son environnement. Mais cet impératif d’adaptation ne doit pas lui faire perdre sa vocation première, qui consiste à produire des savoirs permettant à la société de progresser et de respirer. En parallèle, elle doit préparer à la recherche. Un pays qui ne prend pas à bras le corps la question est condamné inéluctablement à une hibernation et de la pensée, et de la pratique.

Source: L'Economiste
http://www.yabiladi.com/article-societe-1950.html
******************************************************************
Revenir en haut Aller en bas
http://lepetitghrissoi.exprimetoi.net/forum.htm
badram
Général de corps
Général de corps
badram


Masculin
Nombre de messages : 2630
Age : 64
Localisation : rabat/maroc/machy l' hinde!!!
Emploi : stf/gm/master en marocologie & 7 legumes
Loisirs : ly jabe allahe; net; volley; foot;.........
Date d'inscription : 12/02/2007

*" pas touche à mon pote ?!..."* Empty
MessageSujet: Re: *" pas touche à mon pote ?!..."*   *" pas touche à mon pote ?!..."* EmptyMar 26 Juin - 14:15

Les élèves victimes d’une fausse hypothèse

Les élèves ont été induits en erreur par un faux énoncé des examens de mathématiquesLes examens normalisés organisés les 20 et 21 juin ont été entachés par une erreur dans l’énoncé de l’épreuve de mathématiques de l’Académie régionale de Casablanca. Les responsables se sont penchés sur la question, et une solution médiane a été trouvée.


Les élèves de la neuvième année de l’enseignement secondaire ne s’attendaient pas à une telle mauvaise surprise. Après avoir vaincu le stress et le trac et attaqué les premiers exercices de l’épreuve de mathématiques, ils se retrouvent tout à coup, bloqués devant l’énoncé du cinquième exercice. Dans l’exercice on proposait aux élèves candidats aux examens normalisés de l’Académie régionale de Casablanca de résoudre une série d’équations sur la base d’hypothèses erronées. Les hypothèses posées au début pour la première question ne donnaient pas les résultats que les élèves devaient trouver en fin de l’exercice. Car explique un professeur de mathématiques de 9ème année, «toutes les questions de cet exercice étaient enchaînées. Il y a eu effectivement une erreur flagrante dans les énoncés de l’examen», souligne un autre professeur. Les premiers à s’en rendre compte ont alerté les surveillants, qui ont à leur tour fait part du problème aux professeurs de la matière. La machine a été lancée et les inspecteurs et les responsables de l’Académie ont été alertés. Mais cela a pris du temps, et les élèves ne savaient toujours quoi faire.
Selon des professeurs affectés à la surveillance, la plupart des élèves ont commencé à perdre espoir et ont fini par déposer leurs stylos. Entre temps, la machine administrative tente de trouver une issue. Selon des sources du centre d’examen de l’Académie, il a été décidé de reconnaître l’erreur et de communiquer aux candidats les nouvelles données de l’exercice. Seulement c’était trop tard pour beaucoup de candidats à l’examen. Ceux qui se trouvent aux centres d’examens les plus proches ont pu rectifier l’épreuve et reprendre, à temps, l’examen sur la base de nouvelles données. Dans d’autres centres, les rectifications ont commencé à arriver vers 9h00-9h30, explique un professeur. Dans les centres qui se trouvent dans des zones éloignées, au moment où les nouvelles données ont été communiquées, il ne restait plus que 30 minutes avant la fin du temps réglementaire, 15 minutes dans certaines zones comme à Mohammédia. Et les élèves étaient trop abattus pour reprendre l’épreuve et se sont déjà résignés à perdre les 4 points de l’exercice. Un mouvement de protestation s’est enclenché au sein des centres d’examens et à leurs abords. Les élèves et leurs professeurs ont commencé à réclamer une solution au problème. Les responsables tentent d’apaiser la situation. Selon des sources d’un centre d’examen de Casablanca, une des solution les plus plausibles aurait été de répartir les quatre points de l’exercice sur les autres parties de l’épreuve. Seulement, nous explique-t-on, les élèves qui ont pu avoir les nouvelles données à temps et pu résoudre l’exercice se retrouveraient lésés si l’exercice en question avait été annulé. La commission qui s’est penchée sur la question au sein de l’inspection régionale a finalement opté pour une solution médiane. Elle s’est résolue à instaurer deux barèmes différents, l’un pour ceux qui ont peur de résoudre l’exercice et l’autre pour le reste des élèves. Ce qui n’évite pas pour autant des critiques virulentes aux responsables qui ont été derrière de cette situation. En effet, affirme un autre professeur de mathématiques de 9ème année, «l’épreuve a été élaborée par des inspecteurs de deuxième cycle qui ne sont pas forcément au fait de la réalité des niveaux inférieurs». C’est pour cela confie-t-il que «les notes sont catastrophiques, sur 100 copies, la première note ne dépasse pas 12 sur 20».

Le 26-6-2007
Par : Tahar Abou El Farah
http://www.aujourdhui.ma/societe-details55403.html
************************************************************************
Revenir en haut Aller en bas
http://lepetitghrissoi.exprimetoi.net/forum.htm
badram
Général de corps
Général de corps
badram


Masculin
Nombre de messages : 2630
Age : 64
Localisation : rabat/maroc/machy l' hinde!!!
Emploi : stf/gm/master en marocologie & 7 legumes
Loisirs : ly jabe allahe; net; volley; foot;.........
Date d'inscription : 12/02/2007

*" pas touche à mon pote ?!..."* Empty
MessageSujet: Re: *" pas touche à mon pote ?!..."*   *" pas touche à mon pote ?!..."* EmptyVen 29 Juin - 11:41

Tarik El malki: conjoncture.ma est le levier de communication du CMC
(29/6/2007)
Le Centre marocain de Conjoncture (CMC) a lancé le 26 courant, un site web, www.conjoncture.ma, premier du genre dédié à la conjoncture socio-économique au Maroc. Menara a eu l’occasion de rencontrer M. Takik el malki responsable de développement et de communication .

’économie, la finance, le social.

Je signale enfin que ce site est destiné aussi bien aux universitaires, aux opérateurs du privé, aux décideurs nationaux et internationaux ainsi qu’aux futurs lauréats des écoles et instituts, et aux investisseurs. En effet, le CMC, étant avant tout une institution de recherche et un observatoire économique, fait de l’ouverture sur son environnement sa raison d’être et son leitmotiv.


Au plan de la fonctionnalité, comment est organisé ce site ?

Sur le plan de l’organisation, je dirai que ce site comporte plusieurs fonctionnalités complémentaires, qui sont:

- un espace d’informations relatives au CMC (présentation du CMC, de ses publications, de ses équipes et des évènements qu’il organise)

- un espace dédié à l’information économique et financière, à travers une présentation synthétique des publications du Centre, ainsi que des résultats des enquêtes de conjoncture et sondages d’opinion réalisés et de certains indicateurs de conjoncture.

La rubrique News présente et commente l’actualité économique nationale et internationale à travers un regard critique du CMC.

Nous avons la rubrique « Tableau de bord », qui regroupe, selon une périodicité trimestrielle, les principaux indicateurs de conjoncture nationaux (évolution des prix, des échanges commerciaux, etc.), les principaux indicateurs internationaux (évolution des prix des matières premières, etc.), ainsi que les principaux indicateurs de l’économie nationale.

De plus, nous avons développé une Base de données documentaire interne (BDOQ) qui est, par ailleurs, accessible exclusivement pour les abonnés du Centre. Ce fonds documentaire reprend en fait l’ensemble des travaux du CMC depuis sa création, par thème et par publication.

Enfin, cet espace comporte un module «méthodologie», destiné aux étudiants et professeurs et qui présente des aspects méthodologiques liés à certains indicateurs de conjoncture.

- Un espace dédié à la commercialisation de bannières publicitaires donnant la possibilité de communiquer avec une cible de décideurs des secteurs publics et privés.

Ce site, qui est dynamique, a pour vocation d’évoluer au gré de la conjoncture qui nous imposera systématiquement d’être au fait de toutes les nouveautés en terme de rubriques, d’information, de modèles statistiques, etc.

L’innovation étant au cœur de la stratégie du Centre, nous ne manquerons pas d’enrichir ce site de manière systématique afin de répondre aux attentes des internautes, et cela grâce à un système de veille mis en place depuis peu au CMC.

Pourquoi avoir créé un site web à ce moment précis ? Y a-t-il une signification particulière ?

S’agissant du contexte général dans lequel ce site a été conçu, il faut savoir que le CMC a entamé une phase de restructuration qui coïncide avec une période nouvelle de son cycle de vie.

En effet, depuis sa création en 1990 par le groupe ONA et la banque ATTIJARI WAFA (ancienne BCM) et jusqu’à aujourd’hui, le CMC a traversé deux phases importantes de son cycle de vie. La première a duré de 1990 a 1997, période durant laquelle le Centre était administré conjointement par l’ONA et la BCM.

L’année 1997, qui voit le début de sa seconde phase de vie qui durera jusqu’en 2006, est marquée par le désengagement de l’ONA d’une part, et d’autre part par un changement dans le contexte concurrentiel du CMC qui voit l’arrivée de nouveaux acteurs dans le métier de la publication spécialisée en économie.

Le Centre a tout du moins eu le mérite de s’être maintenu dignement durant cette période malgré un contexte concurrentiel très compétitif.

La troisième étape, qui a débuté en 2006 et qui dure jusqu’à aujourd’hui, coïncide avec le recrutement d’un nouveau manager qui a eu pour mission de mettre en place un nouveau projet d’entreprise pour le CMC.

Ce projet, ambitieux mais réaliste à la condition de le doter des outils et moyens adéquats, est décliné en plans d’action par « métiers ». En effet, et c’est là la principale innovation, ce projet, que l’on peut considérer comme une véritable « feuille de route », met l’accent sur une approche « par métiers ».

L’objectif est d’être constamment au fait des attentes et besoins de notre clientèle.

Nous considérons en effet que cette approche « métiers » est la plus adaptée à cette nouvelle conjoncture car elle englobe des activités complémentaires qui permettent d’offrir un service complet, personnalisé et adapté aux opérateurs.

Cette approche place l’information électronique au cœur de cette nouvelle stratégie, et prévoit la création de nouveaux produits et métiers.

De manière plus précise, le nouvel organigramme du CMC prévoit la création de quatre « Pôles » qui correspondent chacun à une activité du Centre.
La première activité est intitulée « Analyse et suivi de la conjoncture », à travers les publications du Centre, l’information électronique (site web notamment), les enquêtes et sondages du Centre.

A titre d’exemple, la diffusion hebdomadaire de la chronique du CMC sur les ondes d’Atlantic Radio du groupe EchosMedias s’inscrit dans cette voie.
Baptisée «Prestations de Service aux Entreprises », la seconde activité est dédiée à la réalisation d’études sectorielles et stratégiques et la dispense de cycles de formation spécialisés destinés aux cadres d’entreprise et du public.

Le troisième métier du Centre, intitulé «Modélisation» englobe la Prévision et les Mesures d’impact.

Enfin, le pôle «Evènementiel et Relations Publiques » se consacre à l’organisation de journées d’étude thématiques, de séminaires, tables rondes, etc.

Quelles sont les perspectives d’évolution future pour le CMC en terme de métiers et de produits?

S’agissant des perspectives futures, le CMC est en cours d’élaboration de nouveaux projets et produits. Les perspectives sont favorables en ce qui concerne le volet « Prestation de Service aux entreprises » dans la mesure où le CMC est sollicité par un certain nombre d’organismes prestigieux pour la réalisation d’études stratégiques d’envergure.

S’agissant du volet « Modélisation », là aussi le Centre est entrain de développer des projets d’envergure nationale, en l’occurrence un projet destiné à l’élaboration d’indicateurs de suivi de la conjoncture économique dans l’optique d’anticiper les retournements de tendance de la conjoncture.

Nous sommes actuellement à la recherche des financements nécessaires à la réalisation du projet dans la mesure où un tel programme nécessite un fort engagement en ressources humaines et financières.

Nous avons un certain nombre de partenaires qui ont manifesté leur intérêt au projet, mais nous ne fermons pas la porte à d’autres éventuels institutions qui pourraient également être intéressées. La nature avant-gardiste du projet ainsi que son utilité démontrée plaident en notre faveur.

Enfin, en ce qui concerne les autres pôles, en plus de l’existant, des projets ambitieux et novateurs sont à l’étude et nous ne manquerons pas de tenir informé l’opinion publique de la teneur de ces nouveautés en temps voulu.

Propos receuillis par M.T

http://www.menara.ma/Infos/includes/detail.asp?article_id=12750&lmodule=Technologie
maintenant passez à ce lien weeb svp et dites moi se que vous en penser?????!!!!&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&.
pour moi ça rentre dans les nouvelles méthodes de communications des avares!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!et des bavards ly ma h7amdinche allahe!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!3ayany had disque dyal hadou, rebonjour à un autre fils d'opportuniste, on va voir où leurs siba les nommera

http://www.conjoncture.ma/Pr%C3%A9sentation/tabid/120/Default.aspx
http://www.conjoncture.ma/
*******************************************************************************

http://www.conjoncture.ma/Pr%C3%A9sentation/tabid/120/Default.aspx
http://www.conjoncture.ma/

*******************************************************************************
scratch scratch scratch scratch scratch scratch scratch scratch scratch scratch scratch scratch scratch scratch scratch scratch scratch scratch scratch scratch scratch scratch scratch scratch scratch scratch king lol! affraid Basketball cheers
Revenir en haut Aller en bas
http://lepetitghrissoi.exprimetoi.net/forum.htm
Contenu sponsorisé





*" pas touche à mon pote ?!..."* Empty
MessageSujet: Re: *" pas touche à mon pote ?!..."*   *" pas touche à mon pote ?!..."* Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
*" pas touche à mon pote ?!..."*
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» *" histoires de "corbo" sur le net ?!...&quot
» *"Un microbe dans un grand corp malade?!..."*

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
FORUM DES ETUDIANTS ET LAUREATS DE L´ISITT :: Catégorie Principale :: Politique-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser